5 octobre 2011
Une ardente patience
Mardi, un petit groupe de 7 élèves se lançait dans l'aventure du spectacle vivant. Ils n'étaient que 7, mais les absents peuvent regretter d'être restés à la maison. Sur les planches de la salle Jéliote les attendaient le poète communiste chilien Pablo Neruda et son amitié avec le facteur de l'île noir, une histoire d'amour illuminée de poésie, l'aventure du Chili démocratique finissant dans un bain de sang, la vie des gens simples et d'un "nobel" si proche du peuple.
Une ardente patience, de la compagnie Les pieds dans l'eau, est mis en scène par Violette Campo. C'est beau comme une plainte d'accordéon nous murmurant "El pueblo unido jamas sera vincido...el pueblo unido..."
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